Affaires tres serieuses

Publié le par Adila Kaoues

Un dangereux espion devant le tribunal de Tamanrasset

Un espion arrete au Sahara
Le quotidien El-Khabar rapport dans l'une de ces éditions, et en première page, qu'un dangereux espion a été arrêté à Tamanrasset, et que le tribunal de cette ville a ouvert une enquête, et qu'un juge d'instruction a été nommé pour instruire cette dangereuse affaire d'espionnage.
Ce dangereux espion occupé le poste stratégique de directeur régional par intérim dans l'entreprise étrangère Enor, où la Sonatrach détient 48 % des actions, alors que GMA, d'Australie détient à son tour 52 %. Cette société est spécialisée dans la recherche et l'exploitation des mines d'or dans la région du Hoggar.
Le journal rapport que ce dangereux espion et par son poste, ouvrait les plis envoyés par la direction général au service de sécurité dans la wilaya de Tamanrasset, et vole des documents d'une importance capitale, et selon Mr le directeur général de l'entreprise Enor, ces documents refermés des secrets de l'Etat algérien.
Et toujours selon le journal El-Khabar, des responsables de sécurité ont étés entendu par le juge d'instruction, et que l'enquête est en phase finale. Aussi, plusieurs responsable de l'"entreprise ont eux aussi étaient auditionné par le juge d'instruction avant de boucler l'affaire.
Après vérification et instigation, il a été démontré que belle est bien qu'une affaire, plus ou moins dans ce sens est en instruction mais non pas auprès du tribunal de Tamanrasset mais celui de Bir-Mourad-Rais à Alger, et c'est L'espion, soit le Directeur régional par intérim qui est partie civile, pour diffamation contre le journal et l'Enor.
* L'article en question estait une couleuvre que personne n'a pu avaler, C'est une machination orchestrée par le directeur général de l'Enor, l'entreprise d'exploitation des mines d'or, et un journaliste pas tout à fait journaliste. l'affaire est devant le procureur du tribunal de Bir-Mourad-Rais à Alger. Et j'espère que justice soit faite.
K.Adila

LE TRIBUNAL DE TAMANRASSET JUGE L'AFFAIRE DU SIECLE

LA JUSTICE DE TAMANRASSET
PROCES DU SIECLE

Le tribunal de Tamanrasset capital du Hoggar a jugé la plus grande affaire de tous les temps. Le directeur régional "par intérim" de l'entreprise d'exploitation des mines d'or, a été jugé pour une affaire de vol. Après études approfondies des écritures comptables, des livres financiers, et les inventaires des magasins de l'entreprise au niveau de la direction régional de Tamanrasset, le pot au rose a été mis à jour. Après la découverte de cette grande et importante disparition, les autorités judiciaires ont été aussitôt mis au courrant, et l'appareil judiciaire c'est mis en branle pour mettre cette affaire en instruction, et ouvrir une enquête judiciaire. Cette découverte est l'œuvre de Monsieur le directeur général fraîchement installé qui après une enquête très poussée, et qui a durée plus de cinq mois a su comprendre le stratège, et la stratégie misent en place par le directeur régional "par intérim", afin de pouvoir commettre ce crime sans que personne ne s'en aperçoit. Sans l'expérience, le sérieux, et la malice de Monsieur le directeur général, cette affaire n'aura jamais connu le jour, et le crime restera impuni à jamais.
Durant toute l'enquête et l'instruction, l'accusé a nié tous les fais qui lui sont reprochés, et il a même refusé de louer les services d'un avocat, Ce croyait t'il, faire partie de cette catégorie de gens injustifiables. Mais non, la main de la justice peut atteindre celui qui ose ou osera toucher aux intérêts du peuple, de la nation, ou de la société algérienne. Et le tribunal de Tamanrasset veut bien donner l'exemple à tous ceux qui pensent qu'ils peuvent bafouer, et piétiner les lois de la république dans l'impunité. Et la sentence doit être exemplaire pour décourager les voleurs, les bandits et les escrocs. Et protéger l'Algérie de tel acte condamnable par tous.
L'accusé se pressente devant le tribunal, dans une salle archicomble, pleine à craquer, et une présence policière exceptionnelle. Et boxe plein de jeunes prisonniers, dont la plus part sont accusés de contrebande pour trafique de carburant, le macaroni, de tomate concentré, de lait en poudre et autres.
Après le passage de plusieurs d'entre eux, le directeur régional par intérim est appelé à la barre. L'assistance a remarqué l'absence de la partie civile et de l'unique témoin. Et dans silence de mort, madame la présidente ouvre le procès :
- Adila Kaoues né le 15 octobre 1952 fils de Salah, c'est bien toi ?
- Oui, c'est bien moi.
- Monsieur, Adila vous êtes accusez de vole punis par le code pénal selon l'article n°xxx
- Qu'est ce que j'ai volé ?
- Ne vous moquez pas de nous, tu es déjà passé devant le juge d'instruction, et tu sais très bien de quoi tu es accusé.
- Wallah, je ne sais pas. J'ai posé cette même question à monsieur le juge d'instruction et il m'a répondu qu'il ne le savait pas. Mais, il m'a assuré qu'il va demander des explications à la partie civile, et depuis je ne sais plus ce qui c'est passé.
Madame la présidente du tribunal, tourne plusieurs pages dans le dossier d'accusation, puis les retourne plusieurs fois, et demande à l'avocat remplaçant de l'avocat.
- C'est quoi cette affaire ?
- Je ne sais pas madame !
Furieuse madame la présidente, me lance à la figure,
- De vole de document de voiture
Et la salle est envahie par un chuchotement qui a vraiment dérangé le tribunal.
- C'est quoi comme document ? l'accusé demande
Personne ne sais c'est quoi comme document
Alors, et à ce moment de faiblesse du tribunal, il demande,
- Qui m'a donné, c'est documents ?
Là aussi, l'accusé marque des point. Et il relance le tribunal,
- Quand ces documents m'ont-ils été remis ?
Encore des points pour l'accusé.
- Les voitures en question sont venu à Tamanrasset alors que j'étais suspendu de mes fonctions et interdit d'entrée dans les locaux de l'entreprise, et voici, la notification qui m'a été remis par la direction générale.
Le tribunal ne trouve plus rien à dire, l'accusé continu d'acculer le tribunal,
- Est-ce que l'entreprise a fait une déclaration de perte ou de vole auprès des services de police ou de gendarmerie, et si elle est là devant vous dans le dossier.
Là non plus, aucune réponse ni de la part du tribunal, ni de l'avocat remplaçant de l'avocat de la partie civile.
Monsieur le Procureur furieux, comment cela ce fait que tu n'es au courrant de rien, alors que fais tu ici, rétorquas à l'avocat remplaçant de l'avocat de la partie civile.
- Je n'ai pas été averti à temps, pour me préparer.
- L'affaire dure depuis plus d'une année et tu n'as pas eu le temps de te préparer
Et là l'accusé lève la main et demande,
- Je peux posé une question à l'avocat remplaçant de l'avocat de la partie civile ?
- Oui, allez-y.
- Vous dite bien que j'ai volé des documents de voiture ?
- Oui.
- Et non pas les voitures.
- Oui.
- Malgré que je gérai des milliards de dinars, des millions de dollars, et des milliards de matériels qui dore dans les magasins depuis une éternité, a qui il faut ajouté la gestion de la production d'or, je me suis contenté de voler des documents de voiture ?
- Oui
- Et pourquoi ? j'aurai fais cela.
Furieuse, encore une fois, Madame le juge me lança,
- Zkara*, voila pourquoi.
Et là, l'accusé, l'assistance, qui est venu non pour cette affaire, mais pour une affaire d'attroupement suivie de troubles survenus quelques jours à la localité Tinzouaitine, il y a quelques jours, d'ailleurs, même les services de sécurité sont dans les lieux pour cette affaire, et non pas, pour une grotesque et ridicule affaire de vole de document de voiture, personne n'arrive à croire que de telle chose exsite reellement.
Après une semaine de délibération, la sentence n'a pas été ridicule :
Un an de prison ferme à l'encontre du directeur régional par intérim, 10 millions de centimes comme amende, et 10 millions de centime pour la partie civile.

Z'kara : Trouvez moi le mot en français, merci;



Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Z'kara= à l'insu ou bien faire une action malhonête pour narguer.
Répondre
H
salem interessant cet article
Répondre